Le Roi de l'évasion de Alain Guiraudie avec Ludovic Berthillot, Hafsia Herzi, Luc PalunBande annonce, date de sortie, synopsis, avis et critique du film Synopsis du film Le Roi de l'évasion Armand, 43 ans, ne supporte plus sa vie d'homosexuel célibataire. Quand il rencontre Curly, une adolescente qui n'a pas froid aux yeux, il vire de bord. Pourchassés par tous, ils bravent tous les dangers pour vivre cet amour interdit. Ils finissent par créer un drôle de couple. Mais est-ce vraiment de ça dont Armand avait rêvé ? Vidéo du film
Auteur de quelques succès populaires comme Touchez pas au grisbi qui relance la carrière de Gabin, venant de tourner Montparnasse 19 avec Gérard Philipe, Jacques Becker éprouvait un désir liberté avec un budget modeste et sans stars. Ce sera Le Trou, qui est aussi son dernier film, tourné entre juillet et octobre 1959, dans les studios de Jean-Pierre Melville. Très malade, l’auteur de Casque d’or a la force d’en finir le montage mais le film sort un mois après son décès, en mars 1960. Truffaut et Godard le saluent comme un chef-d’œuvre et Melville, dans un texte vibrant des Cahiers du Cinéma, le considère comme le plus grand film français ». Aujourd’hui encore, il reste un classique du film noir, très éloigné des conventions du genre, sans complaisance commerciale et d’une intrigante richesse. FilmoTV est heureux de pouvoir vous en proposer aujourd’hui deux versions Trou appartient à un sous-genre du film de gangster le drame carcéral. Il s’inspire d’un authentique fait-divers l’évasion ratée de cinq détenus de la prison de la Santé, en 1947, creusant pendant des semaines un tunnel pour rejoindre les égouts de Paris. L’un d’eux est José Giovanni, sera condamné à mort pour triple assassinat puis gracié. Il en fait son premier roman, publié en 1957 par Gallimard avec le parrainage de Roger Nimier. Becker en acquiert les droits, travaille avec Giovanni sur l’adaptation et les dialogues et l’accueille sur son plateau comme conseiller technique. Car il ne veut pas une épopée spectaculaire qui se soucierait peu de vraisemblance, mais une approche documentaire de la prison et des hommes qui la composent – gardiens comme prisonniers dont les faits et gestes quotidiens sont détaillés. En préparant le script avec Giovanni, Becker insiste sur la véracité à tous les niveaux, ne laissant rien aux conventions. Les dialogues ne font l’objet d’aucun traitement romanesque et sonnent juste, empruntant au langage familier. La promiscuité est montrée, pour la première fois peut-être au cinéma, avec un plan de Manu, de dos, en train d’ élément primordial le casting, composé d’inconnus. Certains font leurs premiers pas comme Philippe Leroy dans le personnage inspiré par Giovanni. D’autres n’ont eu que des rôles très secondaires comme Marc Michel et Raymond Meunier. Michel Constantin, choisi pour sa gueule, est le capitaine de l’équipe de volley-ball dans laquelle joue le fils du cinéaste, le futur réalisateur Jean Becker. Tous sont exceptionnels de naturel, grâce à une direction précise de Becker qui n’hésite jamais à multiplier les prises pour obtenir ce qu’il veut. Et il y a Jean Keraudy, qui ouvre le film, affirmant que le film qui suit est sa propre histoire. Son personnage porte quasiment son vrai nom, Roland Darbant au lieu de Roland Barbat. Il fit partie de l’évasion ratée racontée par Giovanni. C’est un cambrioleur, maintes fois arrêté, surnommé le roi de l’évasion pour ses nombreuses cavales. Comme dans le film, il a conçu en 1947 l’évasion par le tunnel. Pour Becker, il ne joue pas mais revit toutes les attitudes, les gestes du prisonnier, ajoutant un crédit supplémentaire dont profitent tous ses partenaires. Becker exige cette vérité des autres postes. Rino Mondellini, le décorateur, construit des sols avec de vraies plaques de béton. Quand les acteurs quand ils creusent les parois avec une barre de métal, ils ne peuvent pas tricher. La bande-son refuse tout lyrisme musical et crée un univers claustrophobe fait des bruits quotidiens de la prison. Enfin, la mise en scène s’attache avec rigueur à cet hyperréalisme, filmant le plus souvent en temps réel, ou donnant cette illusion en gardant la longueur des plans. Cette volonté documentaire lui permet de saisir la folie de l’univers carcéral quand un gardien saccage avec professionnalisme tout le contenu d’un colis alimentaire, ou encore l’ennui dans les tâches répétitives, aussi bien des détenus que des gardiens. La description précise de Becker vient à se superposer aux gestes minutieux de ces hommes, comme d’ailleurs sa farouche volonté de tourner, malgré la maladie qui le condamne, trouve un écho évident dans ce scénario implacable. Dans le même genre vous pouvez trouver L'EVADÉ D'ALCATRAZ De Don Siegel, 1979 autre chef-d'oeuvre du film carcéral d'évasion, avec Clint Eastwood. ou encore LES AVENTURIERS De Robert Enrico, 1966. Autre adaptation d'un roman de José Giovanni, également inspiré du personnage de Roland Barbat, ici interprété par Lino Ventura..
Avoirune attitude dilettante dans le monde d’aujourd’hui n’est pas facile. Si l’on y réfléchit pas, on peut très facilement se mettre sous pression et être
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RECHERCHÃ? depuis trois semaines après une spectaculaire évasion en Belgique, Karim Bouzitoune, un malfaiteur français surnommé le roi de l'évasion » a été arrêté dimanche au Novotel d'Orgeval où il se trouvait en compagnie de ses quatre enfants et d'une amie. Karim Bouzitoune était arrivé vendredi et s'était inscrit sous un faux nom à la réception, tandis que la femme avait donné sa véritable identité. C'est son comportement qui avait attiré l'attention du personnel de l'hôtel, lequel a alerté les gendarmes d'Orgeval. L'homme n'a pas opposé de difficultés. Il sera présenté aujourd'hui devant le parquet de Versailles. Ses enfants ont été placés dans un foyer d'accueil de gendarmes braquésAuteur présumé de braquages, Karim Bouzitoune s'était évadé à deux reprises en France et depuis il s'était réfugié, semble-t-il, en Belgique où il a été arrêté l'an dernier. En décembre 1999, il avait sauté par la fenêtre du cabinet d'un juge d'instruction de Bruxelles mais, blessé à une jambe, il avait été rattrapé. Le 18 avril dernier, il se trouvait dans une voiture de la gendarmerie belge qui le convoyait avec un autre malfaiteur à Ass. Bouzitoune avait réussi dans la voiture à se libérer de ses menottes et s'était saisi d'un revolver avec lequel il avait braqué les deux gendarmes pour prendre la fuite. Il avait ensuite menacé un autre automobiliste pour lui voler sa voiture. Depuis, Bouzitoune avait disparu, son compagnon d'évasion, lui, s'était rendu. C'est donc en jouant les pères de famille tranquilles dans un hôtel des Yvelines que Bouzitoune a été arrêté.Lévasion de Dannemora. S'abonner. Episode 3. El Chapo. S'abonner. Episode 4. A la conquête du mur. S'abonner. Episode 5 . Les évadés de Stalag Luft III. S'abonner. Episode 6. L'évasion de l'Ira. S'abonner. Episode 7. Evasion d'Elmira. S'abonner. Episode 8. L'assassin de Martin Luther King. Continuer la navigation pour parcourir la dernière catégorie. A voir aussi. Pawn Stars.
de Alain Guiraudie synopsisArmand Lacourtade, 43 ans, vendeur de matériel agricole, ne supporte plus sa vie d'homosexuel célibataire. Quand il rencontre Curly, une adolescente qui n'a pas froid aux yeux, il vire de bord. Pourchassés par tous, ils bravent tous les dangers pour vivre cet amour interdit. Ils finissent par créer un drôle de couple. Mais est-ce vraiment de ça dont Armand avait rêvé ? titre international The King of Escapetitre original Le Roi de l'évasionpays Franceannée 2009genre fictionréalisation Alain Guiraudiedurée 99'date de sortie FR 05/08/2009, BE 26/08/2009scénario Alain Guiraudie, Laurent Lunetta, Frédérique Moreauacteurs Ludovic Berthillot, Hafsia Herzi, Jean Toscan, Pierre Laur, François Clavier, Luc Palun, Pascal Aubert, Bruno Valayerdirecteur de la photo Sabine Lancelinmontage Benedicte Brunet, Yann Dedetdécors Didier Ponscostumes Roy Gentymusique Xavier Boussironproducteur Sylvie Pialatproduction Les Films du Worso, ARTE France Cinémasoutien Arte/ZDFdistributeurs Les Films du Losange. 275 5 112 67 371 263 126 141